Être un chevalier relationnel signifie revendiquer son pouvoir personnel en choisissant de ne plus alimenter un système de croyances basé sur la peur.
Le chevalier relationnel apprend à accumuler de l’énergie avec le temps.
Cette énergie lui permettra de manier des champs énergétiques qui lui sont d’ordinaire inaccessibles.
1) d’une arme, pour défendre sa cause : ici, cette arme est la parole, épée à double tranchant qui peut autant faire le bien que le mal.
Le chevalier maîtrise le maniement des armes ; la voie toltèque enseigne comment maîtriser sa parole, afin qu’elle ne nuise ni à soi, ni à autrui.
2) d’un bouclier, pour se protéger des coups de l’adversaire. Cette protection, pour le chevalier toltèque, c’est de ne rien prendre personnellement. Dès lors, les agressions d’autrui, en particulier verbales, ne l’atteignent plus.
3) d’une quête : le chevalier se bat pour une cause, qu’il s’agisse d’une belle à délivrer ou d’un trésor à découvrir. Cette quête, pour le chevalier toltèque, c’est la vérité, la réalité. Ne pas être dans les suppositions et l’imaginaire, ne pas prêter d’intentions à autrui : être au plus dans le réel, dans le vrai.
4) d’une règle : le chevalier toltèque se soumet à une exigence, il obéit à un ordre. Ici, cette exigence est d’ordre qualitatif : toujours faire de son mieux, afin de se prémunir de tous regrets ou remords ultérieurs. Tout en sachant que ce “ mieux ” varie d’un jour à l’autre, selon les forces dont il dispose.
5) d’un heaume : le chevalier toltèque doit protéger sa tête, son esprit, ses pensées, mais il doit tout de même garder les oreilles ouvertes et pouvoir entendre tout ce qui lui sera utile.